Avec ses répétitions et jeux de reflets obtenus de façon argentique et ses filtres en plexi vs les filtres Instagram, Federica Landi pose la question de la médiatisation de notre perception du monde. Si l’anthropocène est l’ère de l’impact des activités humaines sur notre écosystème, qu’en est-il de l’influence des millions d’images remaniées et échangées chaque jour sur notre environnement physique et mental ?
Toutes les images : © Federica Landi – federicalandi.net
