Une nouvelle génération de photographes est en train de s’approprier l’absurde comme mode d’expression. On vous propose d’en découvrir quelques uns cette semaine.
► Agan Harahap, l’ami imaginaire des politiques indonésiens par Molly Benn
Agan Harahap, photographe indonésien, dénonce l’absurdité de la vie politique en détournant des clichés de campagne.
► Morvarid K : Où sont les icônes ? Sur les étagères à gâteaux par Molly Benn
Morvarid K, artiste iranienne, soulève les absurdités du quotidien en les photographiant. Dans sa série Icons, elle part à la recherche de la représentation des icônes de plusieurs pays et les trouve au supermarché entre le thé et les gâteaux, au bord de l’autoroute, encadré par des bouteilles de soda ou sous un pas de porte.
► La ville est un terrain particulièrement absurde pour Regina Kelaita par Molly Benn
Regina Kelaita, photographe berlinoise, s’amuse à collectionner les absurdités urbaines au gré de ses ballades berlinoises.
► Epectase, la liberté par l’absurde par Molly Benn
Epectase est un mot bien compliqué pour décrire un simple élan de liberté.
► AGENDA | L’art absurde est accessible à la galerie des Filles du Calvaire par Nathalie Hof
Si vous êtes coincés sur Paris pendant l’été ou si au contraire vous venez y passer vos vacances, la galerie des Filles du Calvaire vous aère l’esprit jusqu’au 27 juillet avec des oeuvres multi-supports aussi absurdes qu’intrigantes. On n’a que rarement le réflexe d’aller en galerie pour voir des expositions. Le discours souvent obscur et contemporain nous éloigne de ces lieux pourtant passionnant. Mais ici, le titre de l’exposition résolument accrocheur « Absurde, vous avez dit absurde ? » nous ouvre une porte qu’on aurait tort d’ignorer. Alors, un art accessible l’absurde ?
[…] Une nouvelle génération de photographes est en train de s'approprier l'absurde comme mode d'expression. On vous propose d'en découvrir quelques uns […]
Comments are closed.